Middlemarch (préface Virginia Woolf)

Traduit de l'ANGLAIS par SYLVERE MONOD

À propos

À Middlemarch, petite ville de province à l'époque victorienne, les vies se croisent et se lient. Progrès scientifiques, industriels et sociaux s'apprêtent à bouleverser le quotidien. Dorothea Brooke, esprit jeune et libre, en quête d'émancipation, cherche son bonheur dans l'épanouissement intellectuel en épousant l'érudit Casaubon, qui cache mal un manque d'entrain. Tertius Lydgate, médecin idéaliste, s'engage dans une relation avec la vaniteuse Rosamond Vincy et met en péril ses ambitions. Comment s'épanouir au sein d'un mariage voué à l'échec? Peut-on s'affirmer malgré le regard de la société et ses carcans?Entre intrigues entrecoupées et amours contrariées, la grande romancière britannique dresse une fresque sociale sarcastique et une féroce étude de moeurs dans un foisonnement de personnages et de rebondissements. Une exploration grandiose et minutieuse de la nature humaine, de ses illusions et ses tourments, de ses sentiments et son insatiable désir.

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    George Eliot

  • Traducteur

    SYLVERE MONOD

  • Éditeur

    Folio

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    08/12/2005

  • Collection

    Folio Classique

  • EAN

    9782070403417

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    1 152 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    4.6 cm

  • Poids

    555 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

George Eliot

Mary Ann Evans (1819-1880), plus connue sous le pseudonyme de George Eliot, est contemporaine de Dickens. Dans les pays anglophones, on voit en elle son égale et souvent même on la juge plus profonde, plus subtile, plus complexe, et surtout plus sensible à la condition féminine - et cependant dotée d'humour, elle aussi. Cette femme cultivée vient d'un milieu modeste : son père est régisseur de domaines et elle passe sa jeunesse dans une ferme des Midlands. Indépendante, elle traduit David F. Strauss et Ludwig Feuerbach, deux penseurs allemands qui ont contribué à la critique du christianisme. Associée à une revue « radicale », elle y rencontre George Henry Lewes, un journaliste, homme de lettres, séparé de sa femme, avec lequel elle va vivre désormais. C'est lui qui l'encourage à écrire de la fiction. Pour éviter des jugements hostiles en raison de ses publications et de sa vie privée, elle adopte un pseudonyme.

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