Daniel Deronda t.1

Traduit de l'ANGLAIS par ALAIN JUMEAU

À propos

Daniel Deronda (1876) est le dernier roman de George Eliot, la plus grande romancière de l'époque victorienne, connue pour ses positions féministes et la profondeur de ses analyses psychologiques.
George Eliot ne s'y limite plus à l'exploration d'un microcosme géographique et social, mais présente des catégories sociales nouvelles, tout en s'ouvrant largement sur le monde. Située dans un passé proche du temps de la narration, l'histoire est traversée par les mouvements nationalistes de l'époque. Ce roman moderne et cosmopolite, qui entraîne le lecteur de Londres à Gênes en passant par les villes d'eaux allemandes, est aussi un roman expérimental, jouant parfois avec la chronologie, et présentant une synthèse inattendue entre deux intrigues, l'histoire anglaise et l'histoire juive, racontant le destin de deux héroïnes fort différentes, la blonde Gwendolen et la brune Mirah, entre lesquelles le coeur du héros balance.

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    George Eliot

  • Traducteur

    ALAIN JUMEAU

  • Éditeur

    Folio

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    04/02/2010

  • Collection

    Folio Classique

  • EAN

    9782070342075

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    576 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.7 cm

  • Épaisseur

    2.4 cm

  • Poids

    270 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

George Eliot

Mary Ann Evans (1819-1880), plus connue sous le pseudonyme de George Eliot, est contemporaine de Dickens. Dans les pays anglophones, on voit en elle son égale et souvent même on la juge plus profonde, plus subtile, plus complexe, et surtout plus sensible à la condition féminine - et cependant dotée d'humour, elle aussi. Cette femme cultivée vient d'un milieu modeste : son père est régisseur de domaines et elle passe sa jeunesse dans une ferme des Midlands. Indépendante, elle traduit David F. Strauss et Ludwig Feuerbach, deux penseurs allemands qui ont contribué à la critique du christianisme. Associée à une revue « radicale », elle y rencontre George Henry Lewes, un journaliste, homme de lettres, séparé de sa femme, avec lequel elle va vivre désormais. C'est lui qui l'encourage à écrire de la fiction. Pour éviter des jugements hostiles en raison de ses publications et de sa vie privée, elle adopte un pseudonyme.

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