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Francois-Xavier De Guibert
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La Tragédie monétaire : Quelle monnaie pour la mondialisation, le dollar ou l'or ?
Pierre Leconte
- Francois-Xavier De Guibert
- 16 Octobre 2002
- 9782868398062
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Une nouvelle servitude ; essai sur la mondialisation
Guy Bois
- Francois-Xavier De Guibert
- Politique Sciences Humaines
- 29 Mai 2003
- 9782868398390
Une lame de fond soulève l'opinion publique internationale contre l'agressivité criminelle de l'administration Bush envers l'Irak.
Au-delà du sort réservé à ce petit pays brisé et martyrisé depuis plus de douze ans, elle s'engage dans un affrontement majeur avec les forces du mondialisme, conduites par l'hyperpuissance américaine et relayées par un ensemble de réseaux politiques, médiatiques et financiers, de par le monde. L'auteur analyse ici la signification et les ressorts de cet affrontement. La mondialisation est une vaste entreprise de domination et d'exploitation du monde, engagée depuis plus de vingt ans.
Elle progresse sur un ensemble de fronts : économique, stratégique, politique, idéologique. Elle creuse partout les inégalités sociales; elle vide les démocraties de leur substance ; elle s'impose par la désinformation et les manipulations d'opinion, elle recourt, enfin, à la guerre, avec une impudence sans bornes. Se résigner ou résister ? Accepter une nouvelle servitude ou préserver sa dignité ? Telle est l'alternative présente pour tous les peuples, y compris le peuple américain.
Or, voici que les yeux s'ouvrent sur la réalité du mondialisme et sur la vanité des mythes qu'il véhicule. De partout se lèvent des forces prêtes à lui barrer la route. Il leur appartient de se regrouper, de gagner en cohésion et en cohérence, d'apporter une riposte idéologique globale qui peut, et doit, être décisive. Ce livre s'adresse à ceux qui entendent rester debout et leur dit: antimondialistes, unissez-vous !
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Mondialisation ; l'Europe fédérale une réponse pour la France ? non
Jacques Myard
- Francois-Xavier De Guibert
- 7 Avril 2005
- 9782868398598
"A la fin de l'année 2004, alors que le texte définitif de la constitution européenne avait pu être analysé et que la "décision" de l'ouverture des négociations avec la Turquie apparaissait, bien à juste titre, comme déjà prise, de nombreux spécialistes se sont réunis en colloque pour traiter du fond de cette question essentielle pour notre avenir: "face à la mondialisation, l'Europe fédérale dans laquelle nous enfermerait le projet de constitution européenne est-elle la bonne réponse pour l'Europe et pour la France?" Cette question n'est pas le fruit du hasard, l'évidence s'impose: on ne peut plus désormais parler de choix politiques sans évoquer la construction européenne. Mais, en retour, peut-on raisonnablement envisager la construction européenne sans prendre en compte la mondialisation? Au terme de ce débat, trois réponses s'imposent : Le Traité constitutionnel européen est une remise en cause radicale de l'avenir de la France. Ce Traité ne répond pas aux enjeux économiques, démographiques et politiques (élargissement) de l'Europe actuelle. La mondialisation bouleverse le sens même de la construction européenne, et "ringardise" cette constitution avant même qu'elle n'ait vu le jour. En réalité, la transformation de la planète en un monde, multipolaire et surtout en un village planétaire, constitue une nouvelle donne qui bouleverse fondamentalement, totalement, et de manière irréversible la construction européenne, pour l'inscrire, dans sa forme fédéraliste intégriste et exclusive, au musée de l'obsolète. C'est là ma profonde conviction. Car cette " constitution " est une idée de 1815 qui n'a pas vu que le monde a changé. Voir de nos jours le monde à travers le prisme européen revient à voir le monde tel qu'il existait à l'époque où l'Europe était monde, au début du XIXe siècle. Nous devons prendre aujourd'hui "un peu" d'Europe, dans une coopération librement consentie, c'est-à-dire revenir aux grands principes fondateurs qui ont fait le succès de la construction européenne à ses débuts, pour réserver la plus grande part de nos efforts à ce monde à la dérive et promis à la haine. Face à une mondialisation pleine d'incertitude, l'heure n'est pas à l'utopie fédéraliste mais à la lucidité réaliste. On ne le redira jamais assez, le débat actuel n'oppose aucunement d'angéliques partisans de la construction européenne à de prétendus adversaires attardés de l'Europe. Il oppose deux conceptions de notre avenir. Des autruches frileuses bâtissent un monstre institutionnel afin d'être à jamais, du moins le croient-elles, déchargées du courage d'exister. C'est ce courage auquel une majorité de français qui diront "non" ne veut pas renoncer."