Une jeune fille disparue depuis plus de quatre mois erre à moitié nue à travers la forêt enneigée avant d'atterrir sur une route déserte. La voiture arrive de nulle part, le choc est inévitable. L'accident n'explique pourtant pas les yeux crevés de la victime et les nombreuses blessures sur son corps. Lorsqu'Erica Falck commence à exhumer une vieille affaire de meurtre impliquant un ancien dompteur de lions, elle ne se doute pas que les sombres tentacules du passé sont en train de se refermer sur le présent. Et que le cauchemar ne fait que commencer.
Une femme se jette dans sa voiture, les mains couvertes de sang. Annie cherche à se mettre en sécurité dans la maison de vacances familiale, l'ancienne résidence du gardien de phare de « l'île aux Esprits ». Quelques jours plus tard, un homme est assassiné dans son appartement à Fjällbacka. Mats Sverin venait de regagner sa ville natale, après avoir travaillé plusieurs années dans une association d'aide aux femmes maltraitées. Il paraissait apprécié de tous, mais quand la police enquête sur son passé, elle se heurte à un mur de secrets. Il s'avère qu'avant de mourir Mats est allé rendre une visite nocturne à Annie, son amour de jeunesse, sur l'île aux Esprits. Erica Falk devra soulever le voile, tout en s'occupant de ses jumeaux et en soutenant sa soeur Anna, victime d'un terrible accident.
Camilla Läckberg poursuit ici la série policière la plus attachante du moment.
Jean-Christophe Lebert rend compte de la dualité si caractéristique de l'univers de Camilla Läckberg : tension du récit dont l'efficacité dépend de sa rigueur mais aussi complexité des sentiments humains
A Fjällbacka, un homme a mystérieusement disparu. Impossible de dire s'il est mort, a été enlevé ou s'est volontairement volatilisé. Trois mois plus tard, son corps est retrouvé, figé dans la glace. La police découvre alors que l'un de ses proches, l'écrivain Christian Thydell, reçoit des lettres de menace depuis plus d'un an. Lui les néglige, mais son amie Erica, qui a accompagné ses débuts en littérature, craint un danger bien réel. Sans rien dire à Patrik, son compagnon, et bien qu'elle soit enceinte de jumeaux, elle décide de mener sa propre enquête. A la veille du lancement de La Sirène, le roman qui doit le consacrer, Christian reçoit une nouvelle missive : quelqu'un lui voue une haine implacable et semble déterminé à mettre ses menaces à exécution. Jean-Christophe Lebert use avec bonheur de sa voix aux multiples registres pour projeter le lecteur dans un suspens où la haine et la mort veulent submerger les forces de vie.?
Ce fut une enfant adorable, une jeune fi lle charmante, une femme compatissante et dévouée. Elle a traversé la Bretagne de part en part, tuant avec détermination tous ceux qui croisèrent son chemin : les hommes, les femmes, les vieillards, les enfants et même les nourrissons.
Elle s'appelait Hélène Jégado, et le bourreau qui lui trancha la tête le 26 février 1852 sur la place du Champs-de-Mars de Rennes ne sut jamais qu'il venait d'exécuter la plus terrifi ante meurtrière de tous les temps.
Jean-Christophe Lebert prête sa voix ample à cette fresque historique où la démence côtoie les désillusions d'une époque en deuil de ses grandeurs passées.
Hiver 2006. Coeur de la Forêt-Noire.
Le froid, la neige, l'isolement... Les conditions idéales pour écrire sur un tueur en série, retrouvé pendu voilà plus d'un quart de siècle.
Le Bourreau 125... Cent vingt-cinq, pour les cent vingt-cinq grammes de chair qu'il faisait prélever aux épouses sur leurs maris, avant de les torturer.
Arthur Doffre, riche héritier, vieil homme paraplégique, souhaite le ramener à la vie par l'intermédiaire d'un roman. Un thriller que David Miller, embaumeur de profession et auteur de polar occasionnel, a un mois pour écrire, enfermé dans un chalet avec sa famille, Doffre et sa jeune compagne.
Mais il est des portes qu'il vaut mieux laisser fermées... et très vite, la psychose s'installe. Dès lors, une seule idée pour les hôtes : la fuite. Or, on ne quitte pas la Forêt-Noire si facilement.
Avec La Forêt des ombres, Franck Thilliez nous entraîne dans les méandres de la folie et de la perversion, à travers un huis clos intense à la trame diabolique.
Je suis l'ombre.
Je suis la proie.
Je suis le tueur.
Je suis la cible.
Pour m'en sortir, une seule option :
Fuir l'autre.
Mais si l'autre est moi-même ?...
Jean-Christophe Lebert restitue au texte de Jean-Christophe Grangé cette tension qui enferme le lecteur dans un labyrinthe cauchemardesque.