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Littérature
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Un coup au coeur
Emmanuelle de Boysson
- Calmann-Lévy
- Litterature Francaise
- 3 Janvier 2024
- 9782702188606
"Il était 17 h 20 lorsque mon coeur s'est arrêté. Je ne me suis aperçue de rien.
Ça s'est passé comme si je m'endormais. C'était doux, presque un soulagement." Emma est morte le 7 février 2022. Son coeur a cessé de battre pendant trente minutes. Un coup au coeur raconte la bataille qu'elle a dû mener pour revenir à la vie, de la réanimation à la rééducation. Pour se remémorer aussi où elle est partie quand tout le monde la pensait disparue.
Au fil de cette traversée, Emma explore ses sensations, les images qui lui viennent - certaines d'une beauté à couper le souffle, d'autres, plus inquiétantes, qui interrogent son rapport à la mort, entre attirance et répulsion - puis célèbre, avec un enthousiasme contagieux, ces petits riens qui font notre bonheur quotidien.
Une plongée dans l'au-delà, qu'Emmanuelle de Boysson partage avec allégresse et une sincérité bouleversante. -
Balzac amoureux
Emmanuelle de Boysson
- Editions Rabelais
- Les Inspiratrices De L'ombre
- 1 Juin 2016
- 9782375690024
Privé de tendresse maternelle, Balzac a toujours rêvé d'une femme protectrice et confidente, grande dame fortunée, ange, démon ou courtisane. Celles qui ont embelli son existence jouent un rôle essentiel dans ses romans dont le titre est souvent un nom féminin.
Un tiers des histoires de la Comédie humaine leur est dédié. Laure de Berny, vingt-deux ans de plus que lui, son premier amour, lui inspire le Lys dans la vallée, Laure d'Abrantès, la veuve du maréchal Junot, la Femme de trente ans, et la Marquise de Castries, qui s'est refusée à lui, la Duchesse de Langeais.
Après avoir tant rêvé de se marier, il ne jouira de son bonheur avec Mme Hanska que quelques mois avant sa mort.
Balzac connaît les secrets des femmes, leurs souffrances, met en scène leurs amours coupables, les peint mal mariées, humiliées, adultères.Tout en étant leur plus grand défenseur.
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Je ne vis que pour toi
Emmanuelle de Boysson
- Calmann-Lévy
- Litterature Francaise
- 30 Septembre 2020
- 9782702168912
Au début du XXe siècle, Valentine, une jeune Bretonne insouciante, monte à Paris, au bras d'Antoine, son mari austère et volage.
Introduite dans la société mondaine de la capitale et ses salons littéraires, elle rencontre des femmes libres qui la fascinent et l' attirent. Colette, Renée Vivien, Liane de Pougy, Élisabeth de Gramont et surtout l'irrésistible Natalie Cliord- Barney. À leurs côtés, Valentine va bientôt se rêver écrivain.
Mystérieuse et magnétique, l'Amazone Natalie, qui devient bientôt sa «Natty», l'initie aux déliceslittéraires et aux amours saphiques. Naît alors en Valentine une passion pure et dévorante, dont elle pourrait bien ne jamais revenir...
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Classiques du XIXème
Emmanuelle de Boysson, Valentine Del moral, Vincent Pieri, François Taillandier, Sigolène Vinson
- Plon
- 12 Mai 2022
- 9782259310833
François Taillandier se souvient de sa découverte émerveillée de Balzac à l'âge où ses camarades se passionnaient pour le football. Sigolène Vinson raconte comment Victor Hugo a nourri son adolescence dans la corne de l'Afrique. Valentine del Moral nous évoque un Zola intime, comme elle parlerait d'un ami. Vincent Pieri s'interroge sur l'amour déraisonné qu'il éprouve pour Flaubert. Emmanuelle de Boysson, enfin, prétend avoir parlé à un certain Henri Beyle sur les bords du lac de Côme : le spectre de Stendhal ?
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Dans les tourments de la Fronde qui traumatise Louis XIV enfant, Emilie, jeune Bretonne sans le sou, part tenter sa chance à Paris. Elle y devient préceptrice chez la comtesse Arsinoé de La Tour qui l'introduit dans les salons littéraires. Son ambition provoque la jalousie des précieuses qui manient aussi bien l'art de la conversation que la raillerie. Cette caste arrogante s'accommodera-t-elle de sa modeste condition ? Emilie tient son journal, tente de se protéger des coups bas, s'impose. Trouvera-t-elle la force de quitter son vieux mari, noble et fortuné, pour suivre Ronan, l'homme qu'elle aime, un poète libre et pauvre ?
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Avec beaucoup d'autodérision, Emmanuelle de Boysson nous dresse le portrait lucide de six bourgeoises, grandes sentimentales devant l'Eternel. Malgré leur vie aisée, ce sont finalement des femmes comme les autres qui souffrent, s'aiment, se jugent et se déchirent. Une comédie pétillante pour notre plus grand plaisir !
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Au fin fond de l'Arizona, une femme affaiblie s'est réfugiée dans le ranch de son frère. À ses pieds, des malles contiennent les derniers souvenirs de son grand amour : le sulfureux écrivain Henry Miller. Après leur coup de foudre dans un dancing de Broadway, elle l'a encouragé à écrire, a été son épouse et l'a entretenu pour qu'il puisse donner naissance à son oeuvre. Elle s'appelle June Mansfield.
Tour à tour entraîneuse, serveuse ou comédienne, June n'a eu de cesse de brouiller les pistes. Sous la plume de l'auteur de Tropique du Cancer et d'Anaïs Nin, avec qui elle a formé un célèbre triangle amoureux, elle est devenue un personnage de fiction, mais n'a jamais livré sa vérité.
Emmanuelle de Boysson nous entraîne dans le New York de la Prohibition et le Paris des années 1930. Elle fait revivre cette personnalité fantasque, ô combien attachante, et recompose le puzzle d'une existence aux nombreuses zones d'ombre.
Ce roman envoûtant dévoile les failles et les amours tumultueuses de la muse d'Henry Miller. -
Oublier marquise ; le temps des femmes
Emmanuelle de Boysson
- J'ai Lu
- Litterature Generale
- 9 Avril 2014
- 9782290088265
1708. Mariée à Armand de Belle-Isle, Marquise rêve de devenir peintre. Au cours d'une réception, elle tombe amoureuse d'un jeune artiste surdoué, fragile et irrésistible, Antoine Watteau. Ils s'aimeront à la folie. Il l'initie aux fêtes galantes ; elle l'admire et l'accompagne jusqu'à sa mort prématurée, à trente-sept ans. À la Cour, Marquise, bâtarde secrète de Louis XIV, charme le vieux roi : il la légitimera dans son testament. Mais le duc d'Orléans, devenu régent, abuse d'elle et trahit les dernières volontés du monarque. Dès lors, elle n'aura de cesse de se Venger....
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1664 : Blanche de La Motte, treize ans, n'a pas connu son père, le poète Ronan Le Guillou. Sa mère, émilie, est partie le rejoindre en Nouvelle France et l'a confiée à Ninon de Lenclos, sa marraine. Avant de mourir, elle lui envoie une lettre où elle révèle qu'elle a été déshéritée et bannie des salons. À Paris, Blanche assiste à la représentation des Précieuses Ridicules : une révélation. Elle sera comédienne dans la troupe de Molière qu'elle quittera pour Racine. Son amitié avec La Montespan, entre fascination et rivalité, l'entraînera dans les compromissions de la Cour et l'affaire des poisons. Déterminée mais fragile, Blanche aimera trois hommes : Charles de Longueville, le roi dont elle aura une fille, Marquise, et Antoine de La Boissière, le fils de Ninon. La comédienne, dame de compagnie de la Montespan est jalousée, menacée et caressée. Qui cherche à lui nuire ? Les anciennes Précieuses ? Une de ses rivales ? Ses demi-frères qui veulent l'enfermer dans un couvent ? Retrouvera-t-elle son père ? Réussira-t-elle à venger sa mère ? Une intrigue rebondissante, de superbes portraits de femmes, un regard amusé sur les liens, pas toujours tendres, qui les unissent, ce second tome de la série Le Temps des Femmes nous fait découvrir les coulisses de la Cour autant que celles du théâtre de cette fin du XVII?siècle sanglant et poudré.
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1708. Mariée à Armand de Belle-Isle dont elle a deux enfants, Marquise rêve de devenir un peintre reconnu. Au cours d'une réception, elle tombe amoureuse d'un jeune artiste surdoué, fragile et irrésistible, Antoine Watteau. Ils s'aimeront à la folie. Il l'initiera aux fêtes galantes ; elle l'admirera et l'accompagnera jusqu'à sa mort prématurée, à trente-sept ans. Bâtarde secrète de Louis XIV, Marquise charmera le vieux roi : il la légitimera dans son testament. Devenu régent, le duc d'Orléans qui abusa d'elle, trahira les dernières volontés du monarque. Elle n'aura de cesse, dès lors, de se venger, ira jusqu'à conspirer avec la duchesse du Maine et une bande d'aventuriers. Complots, enlèvements, jeux de masques, elle ne reculera devant rien. Un roman illuminé par l'amour et le génie de Watteau.
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Le charme discret de la bourgeoisie Alsace, 1969. Juliette passe les vacances de la Toussaint chez ses grands-parents, avec Camille, sa cousine délurée, qui lui présente Patrice, dont elle tombe follement amoureuse. Les vacances riment avec insouciance et innocence, s'y mêlent les goûts et les senteurs des derniers moments de l'enfance, notes sucrées qu'on voudrait ne jamais oublier.
Pourtant les revendications sociales issues de mai 68 grondent encore. Les parents de Juliette tentent de la préserver du climat d'insurrection qui s'empare de Mulhouse. Elle en profite malgré tout pour s'évader du cocon avec sa cousine, tandis que son petit ami s'engage politiquement et sombre dans la drogue et l'autodestruction. Si Juliette flirte avec la provocation et ose défier son milieu, elle finira par suivre, en jeune fille de bonne famille, la voie qu'on lui a tracée et ne transgressera pas les limites, à l'inverse de Patrice...
Le souvenir d'un parfum de Schiaparelli, le velours orange d'un pantalon pat d'eph, autant d'évocations des années 70 que Les Années Solex nous invite à partager. Hymne à la fureur de vivre adolescente et aux premières amours, ce roman plonge dans l'âge de toutes les transgressions et de tous les possibles. Délicieusement nostalgique. -
Fille de bonne famille, Juliette connaît ses premiers amours et ses premières déceptions dans les années 1970. Lorsque sonne la fin de l'insouciance, elle se lance, déterminée, à la quête du bonheur.
Malgré ses efforts, son accomplissement en tant que mère et épouse ne la comble pas. Elle se tourne alors vers l'écriture et entreprend de raconter une histoire familiale : celle du père Dantec, un ecclésiastique mort dans des circonstances troubles. Ce choix est loin de faire l'unanimité dans la famille. Sa mère, a qui l'on vient de diagnostiquer un cancer, lui demande d'épargner leur honneur déjà éprouvé. Mais avec le soutien de son époux, Juliette ne renonce pas et poursuit en secret son projet.
Que tout soit à la joie retrace l'épanouissement d'une femme privilégiée aspirant à élargir les horizons étriqués qui lui sont destinés. Une plongée délicieusement nostalgique dans la France des années 1970, qui explore le sujet tabou de l'amour au sein de la prêtrise à travers cette énigme : comment
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Depuis trente ans, Gaspard est le majordome de Jules Berlingault, vieux monsieur loufoque qui décide de lui léguer sa fortune. Mais rien ne va plus dans son immeuble : querelles de palier, déprimes, couple en crise... Jules se prend d'affection pour ses quatre voisins et les invite à l'île de Ré pour les vacances.
Après une arrivée explosive, il leur propose un incroyable marché : s'ils parviennent à prouver qu'ils sont heureux en restant unis, ils hériteront de tous ses biens. Dès lors, Gaspard, à cran, n'aura de cesse de faire capoter cette comédie du bonheur.
Entre doutes, duplicité et jeux de rôle, ses nouveaux amis se plieront-ils aux lubies de ce cher Berlingault, à la fois Pygmalion et farceur ?
Une folle parenthèse où la fantaisie est une invitation à se dépasser. Un roman optimiste qui nous rappelle que le bonheur est un pari sans risque.
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Les grandes bourgeoises
Emmanuelle de Boysson
- JC Lattès
- Romans Contemporains
- 1 Février 2006
- 9782709627405
Six femmes en lice : Cerise, Philippine, Iris, Douce, Lila, Rose, grandes bourgeoises ou apparentées. Jeunes filles, elles ont toutes appartenues au même rallye mondain ; aujourd'hui, avantageusement mariées, elles tiennent à leur confort comme une chatte à son coussin. Pas tendres pour un sou, elles s'observent, se jugent, se jalousent, griffent. Entre elles, circule une mystérieuse bague en émeraude qui va faire dérailler leur train-train. Au moment où elles tentent de se libérer de leurs névroses, elles sont déçues, piégées par leurs travers. Pour notre plus grand plaisir, elles forment un étonnant bouquet de défauts révélateurs de leur milieu : une épaisse couche de morale, une désespérante naïveté, un goût prononcé pour l'intérêt, une tendance exagérée au narcissisme, à l'hystérie ou même à la radinerie. Plus d'épines que de moelleux ! En un mot, on ne leur a pas appris à être simples : elles le paient, mais compensent et se relèvent. Malgré le luxe, un quotidien, disons facile, elles rêvent toutes d'un ailleurs improbable aux antipodes de leur univers étriqué. Seule Rose, la vieille fille confite, parviendra à larguer les amarres, à se fondre dans la masse pour y gagner sa liberté.
« Je sais de quoi je parle, j'appartiens à ce petit monde dont je me moque, mais ne vous y méprenez pas, mon autodérision est un signe de bonne santé ! Je déborde d'affection pour ces femmes à mi vie, si touchantes avec leurs fêlures, leurs certitudes, leurs limites. » reconnait Emmanuelle de Boysson. -
Georges izard, avocat de la liberte
Boysson Emmanuelle D
- Presses De La Renaissance
- 23 Décembre 2003
- 9782750900113