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M.E.O.
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Que faire lorsqu'on subit un licenciement aussi brutal qu'arbitraire et que le mot « chômage » devient imprononçable ? La question, douloureuse, enfonce dans la sidération Sandrine, ex-cadre commercial d'une firme pharmaceutique. Avec, en filigrane dans la solitude et l'opacité des jours vides, la soif d'un père absent depuis l'enfance, qui vient de mourir et dont elle occupe la baraque déglinguée. Jean-Marc, lui, se demande si le stress post-traumatique lui permettra de reprendre son travail de professeur après avoir été agressé par un élève. Sa brève rencontre avec Sandrine, ivre morte le soir de son licenciement, ravive son vieux désir d'écrire. La jeune femme lui serait-elle tombée de nulle part, comme la Bird du Baiser cannibale, son roman fétiche, pour devenir LE personnage qu'il attendait ? Encore faudrait-il la retrouver...
Prix RTL-TVI pour son premier roman, Coréenne, Annie Préaux, romaniste et enseignante, s'intéresse aux arts plastiques, à la philosophie et au théâtre-forum, qu'elle a pratiqué avec la Compagnie du P'tit Thomas. Elle anime aussi des ateliers de lecture-écriture et publie des articles de pédagogie et de réflexion humaniste. Deux de ses romans ont paru aux éditions M.E.O., J'ai immédiatement écouté les conseils de Dieu et Fuites. -
Aline, professeur d'Histoire, vient de prendre sa retraite. Dans ce moment de vide s'impose à elle le souvenir de sa grand-mère, une autre Aline, qui a fui le Borinage en août 1914 pour aboutir dans la Drôme et y rester pendant toute la « grande » guerre. Sur l'ancienne route de la frontière, puis dans le Midi, la narratrice questionne ses fantômes en suivant le chemin des fuyards d'il y a cent ans.
Cette quête du passé est pour elle aussi une fuite, celle de son couple à la dérive, de l'inaction et même du malaise de notre époque, auquel participe sa nièce, jeune fille de vingt ans qui se cherche, et Teresa, une clandestine kosovare.
Mais toute fuite ne débouche-t-elle pas sur des interrogations fondamentales ?
Prix RTL-TVI pour son premier roman, Coréenne, Annie Préaux, romaniste et enseignante, s'intéresse également aux arts plastiques, à la philosophie et au théâtre-forum qu'elle a pratiqué avec la Compagnie du P'tit Thomas. Elle anime des ateliers de lecture-écriture et rédige des articles de pédagogie et de réflexion humaniste. Elle a déjà publié aux éditions M.E.O. un roman remarqué : « J'ai immédiatement écouté les conseils de Dieu ». -
Les beaux jours d'Annette s'arrêteront à sa puberté : telle est la sentence proférée par une de ses grands-mères. Ce ne sera pas l'unique prédiction empreinte de stéréotypes, voire de superstitions, à laquelle la toute jeune fille est confrontée. Durant ses années de jeunesse, elle va craindre pour sa vie, mais aussi chercher à comprendre, à trouver le sens de l'existence dans le monde du vivant et des humains. Contrairement à sa cousine Jeannette, qui, elle, restera mal à l'aise avec elle-même et la société, « clouée à quelque pilori fabriqué par ses croyances les plus profondes » et persuadée d'être promise à l'Enfer.
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Vieille dame à demi impotente, Estelle vivote entre son chien empaillé, l'infirmière « Madame Derrière », Joël-le-kiné, Marcelline des « Amis de l'Entraide », le vieux Théodore, l'encore plus vieille Adèle, une caisse de livres et la télévision. Et surtout, sur l'ordinateur qu'on lui a offert, elle raconte son quotidien à son fils, journaliste et écrivain connu, qui ne vient jamais la voir. Sa vie change avec l'arrivée de Jasmine, la nouvelle aide-ménagère, avec laquelle elle se met à partager ses lectures et des évènements tragiques. Peu à peu, en dépit de leurs divergences, voire de leurs affrontements, celle-ci capte toute son attention. Estelle s'invente alors le retour du fils prodigue pour lutter contre la montée des sentiments. Jusqu'au coup de théâtre final...
« J'ai immédiatement écouté les conseils de Dieu », d'Annie Préaux (Prix RTL-TVI) n'est pas le énième remake de « La vieille femme indigne ». C'est un roman juste et profond, qui dissimule sous une feinte causticité la tendresse dont l'auteur enveloppe ses personnages. -
«?Quand j'ai rencontré ce garçon, je songeais à un nouveau roman [...] Ce devait être une histoire entre un fils et son père. Un père mort brutalement. Un père auprès de qui il aurait été difficile d'exister. Un deuil à faire...?» L'écrivaine Aline Esse est interrogée par un inspecteur de police à la suite de la disparition inquiétante de l'homme à qui elle avait loué la maison de ses parents décédés. Cherchant à comprendre, l'écrivaine, à la lumière de son roman inachevé, revisite la relation particulière qu'elle a nouée avec ce locataire en qui elle a reconnu son nouveau personnage et qui s'est reconnu en lui, un professeur mal dans sa vie, mais admirant follement son artiste de père trop tôt décédé. Une mise en abîme entre réalité et fiction, nourrie de la fascination réciproque entre les arts d'Occident et d'Orient, coréen en particulier.
L'AUTEURE : Prix RTL-TVI pour son premier roman, « Coréenne », Annie Préaux, romaniste, romancière et poète, a été une enseignante passionnée de pédagogie humaniste. Les arts plastiques, la philosophie et le théâtre-action tiennent aussi une grande place dans sa vie. Elle propose et anime des ateliers d'écriture ouverts à tous. « Disparu d'un trait d'encre » est son huitième roman.