125 personnalités racontent 125 victimes de féminicides
En France, une femme est assassinée par son conjoint tous les deux jours et demi en moyenne, soit environ 125 femmes par an. Qui se cache derrière ces chiffres ? 125 personnalités de la littérature, du monde politique et artistique prennent la plume et racontent les vies de ces femmes broyées et deviennent ainsi leurs ambassadrices. Pour une fois, les victimes ont un visage.
À travers son parcours de femme victime de violence conjugale ainsi que la participation de plusieurs professionnels (psychiatres, avocats, associations, etc.), Sarah Barukh donne également des clefs pour comprendre l'emprise et la violence.
Un livre pour se souvenir mais aussi pour réfléchir collectivement afin que ces meurtres cessent.
À propos de l'autrice
Sarah Barukh est née en 1980. Elle a travaillé dans la production audiovisuelle, a écrit pour la télévision et la radio. Elle est l'auteur de Elle voulait juste marcher tout droit (prix Lions Club et MJLF 2017), Le Cas zéro (prix du Roman d'Entreprise et du travail 2019) et Envole-moi.
Tout commence par un cas. Incompréhensible et inquiétant. Une série de symptômes incohérents et d'une gravité extrême. Laurent Valensi, médecin à l'hôpital Saint-Louis, ne sait comment soigner son patient, un certain Ali Benyoussef. Déchiré entre sa famille qui veut le protéger d'une éventuelle contamination et un chef de service sans scrupule, il se lance dans une course contre la montre. En dépit de ses doutes, et face aux menaces qui pèsent chaque jour un peu plus sur lui, il va se battre pour sauver cet homme et faire éclater la vérité : si ce patient était le cas zéro de la terrible épidémie qui fait rage aux Etats-Unis et que l'on appelle « le cancer homosexuel » ? Un thriller angoissant où Sarah Barukh, l'auteur de Elle voulait juste marcher tout droit, nous tient en haleine de la première à la dernière page.
1946. La guerre est finie depuis quelques mois lorsqu?Alice, huit ans, rencontre pour la première fois sa mère. Après des années à vivre cachée dans une ferme auprès de sa nourrice, la petite fille doit tout quitter pour suivre cette femme dont elle ne sait rien et qui lui fait peur, avec son drôle de tatouage sur le bras.
C?est le début d?un long voyage : de Paris à New York, Alice va découvrir le secret de son passé, et quitter à jamais l?enfance.
Comment trouver son chemin dans un monde dévasté par la guerre ? Avec une sensibilité infinie, Sarah Barukh exprime les sentiments et les émotions d?une enfant prise dans la tourmente de l?Histoire.
Un premier roman magistral.
À presque quarante ans, Anaïs a réinventé sa vie à Nice, loin de la grisaille du 19e arrondissement parisien où elle est née. Lorsque Marie, son amie d'enfance, la contacte après une longue absence, des souvenirs enfouis rejaillissent.
Les années 90, lorsque le rap et le basket galvanisaient les cours de lycée et le racisme sévissait déjà. Cette amitié bancale, où Marie semblait décider de tout... Et le drame qui les a séparées.
Le temps d'un week-end improvisé, les deux femmes affronteront leurs fantômes pour tenter de se retrouver.
Grâce à des personnages d'une vérité poignante, Sarah Barukh, l'auteure de Elle voulait juste marcher tout droit, nous plonge au coeur de l'adolescence et de ses stigmates, explorant dans ce roman troublant le poids du passé et la nécessité de s'en libérer pour pouvoir être soi-même.
Comment tenir debout quand tout ce qu'on croyait savoir sur soi vole en éclats?
Depuis l'enfance, Sophie s'est efforcée de ressembler à son père qu'elle admire. À presque quarante ans, elle a tout sacrifié à sa brillante carrière d'avocate, sa fille, son couple, ses amis. Toujours sur le fil, elle gèreses contradictions au prix d'étranges obsessions. Mais quand son père meurt brutalement, Sophie se brise. Son univers finit de s'effondrer lorsqu'elle trouve des passeports argentins aux noms de ses parents en vidant leur appartement.
À Buenos Aires, une femme noie dans l'alcool un passé insoutenable. Son fils la porte à bout de bras mais, brisée par la dictature, Sol ne se remet pas du secret qu'elle porte depuis bientôt quarante ans...